Cinquièmement, il respecte les limites personnelles. Même les amis proches n’ont pas besoin de tout savoir, d’être toujours disponibles ou de partager tous les points de vue. Un bon ami ne vous met pas la pression, ne vous manipule pas avec culpabilité (« Tu n’es pas mon ami si tu ne fais pas ça ») et respecte le « non ».
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Sixièmement, il y a la joie dans la communication. L’amitié doit être source de plaisir, pas d’épuisement. Si vous vous sentez vide, coupable ou anxieux après une réunion, c’est un signe. Une amitié saine dynamise, inspire et donne le sentiment de ne pas être seul.
Septièmement, grandir ensemble. Les bons amis se soutiennent mutuellement. Ils ne se rabaissent pas, n’envient pas la réussite et n’empêchent pas le changement. Au contraire, ils disent : « Tu es devenu meilleur, et je suis fier de toi. » L’amitié n’est pas une sculpture figée, mais un processus vivant.
Huitièmement, le pardon et l’acceptation des imperfections. Personne n’est parfait. Un ami peut être oublieux, colérique ou indécis. Un bon ami reconnaît ces traits de caractère, mais ne les met pas en avant. Il aime la personne dans sa globalité, avec ses difficultés.
En conclusion, être un bon ami, c’est être quelqu’un qui crée sécurité, inspiration et sentiment d’appartenance. Cela ne nécessite pas d’héroïsme, mais une prise de conscience. Et n’oubliez pas : le meilleur moyen de trouver un bon ami, c’est d’en être un.
